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  1. Léo Frankel : communard sans frontières

    Chuzeville, Julien, 1979-
    Montreuil : Libertalia, [2021]

    ""La Commune a succombé. Elle a succombé sous la force brutale. Mais en étouffant sa voix, on n'a pas même cicatrisé les plaies sociales qu'elle avait mission de guérir, et tous les déshérités des deux sexes, tous ceux qui veulent le règne de la vérité, de la justice, attendent sa résurrection." Voici la première biographie en français de Léo Frankel (1844-1896), seul élu étranger de la Commune de Paris (1871). Militant de la Première Internationale, dont il intègre la direction lors de son exil à Londres, il est un proche de Karl Marx. Il est emprisonné sous le Second Empire. Pendant la Commune, il est élu à 27 ans responsable de la commission du Travail, puis condamné à mort par contumace par les versaillais. Ouvrier d'orfèvrerie, puis correcteur, enfin journaliste, il travaille et milite dans de nombreux pays d'Europe (Hongrie, Autriche, Allemagne, France, Grande-Bretagne). Véritable internationaliste, son parcours militant et ses articles montrent l'aspiration à un socialisme révolutionnaire qui réaliserait l'autoémancipation ouvrière. Ce livre s'appuie sur l'étude de nombreuses archives, de correspondances, de journaux révolutionnaires de plusieurs pays. L'ouvrage comprend des articles, discours et lettres (la correspondance avec Marx) de Léo Frankel traduits pour la première fois en français, notamment sur la Commune de Paris."--Page 4 of cover.

  2. Militants contre la guerre, 1914-1918

    Chuzeville, Julien, 1979-
    Paris : Amis de Spartacus, c2014.

    ""Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage" : Jaurès l'avait dit et répété, et des congrès successifs de l'Internationale socialiste s'étaient engagés à tout faire pour empêcher le déclenchement d'un conflit. Mais quand, en 1914, malgré la forte agitation sociale que connurent au début de l'année la France, la Russie et l'Allemagne, la machine infernale se mit en route, les socialistes ne lui barrèrent pas le chemin. La France ne manquait pas de pacifistes ; mais devant les dangers de l'invasion, la mobilisation, la militarisation de la société et la censure, tous furent désemparés et beaucoup se résignèrent. Certains, cependant, osèrent rompre le consensus et voulurent faire entendre la voix d'un pacifisme actif, c'est-à-dire, nécessairement, internationaliste. La paix qu'ils recherchaient était une paix sans tergiversations, "sans vainqueur ni vaincu ", une paix ils en étaient convaincus que les régimes qui avaient conduit le monde à la guerre ne seraient pas capables d'assurer. Ces militants car tous l'étaient avant le début de la guerre durent mener d'abord le combat dans leurs propres organisations, parti socialiste et syndicats, puis tenter, malgré la censure, l'intimidation et la répression, de faire progresser l'opposition à la guerre. Le Comité pour la reprise des relations internationales (CRRI) qu'ils créèrent fut le centre nerveux du pacifisme militant en France de 1915 à 1918 ; Zimmerwald et Kienthal, mais aussi la prison et les procès, furent les étapes de leur campagne. La paix des vainqueurs ne fut pas celle pour laquelle ils s'étaient battus et ils savaient qu'elle portait en elle l'annonce d'un nouvel orage. Mais en maintenant vivace l'internationalisme socialiste, leur action résonna encore bien après que le CRRI eût cessé d'exister."--P. [4] of cover.

  3. Un court moment révolutionnaire : la création du Parti communiste en France (1915-1924)

    Chuzeville, Julien, 1979-
    Paris : Libertalia, [2017]

    ""L'équipe de La Révolution prolétarienne forme le coeur de cette gauche ouvrière dont Monatte se revendique, qui aurait pu contribuer à l'émergence d'un "parti de type nouveau". Cette gauche avait une conception politique qui lui venait du syndicalisme révolutionnaire. Elle avait aussi une conception exigeante du militantisme, une éthique révolutionnaire qui impliquait honnêteté et franchise. Les contradictions avec les pratiques léninistes devaient tôt ou tard éclater." Le Parti communiste est créé en France en décembre 1920. Au-delà du seul congrès de Tours, qui voit la scission du Parti socialiste SFIO, il importe de comprendre les dynamiques qui aboutissent à ce résultat. Qui sont les principaux militants à l'oeuvre ? Quels sont leurs objectifs politiques ? Comment la scission s'effectue-t-elle en pratique ? Comment le PC s'organise-t-il à ses débuts ? Quels sont alors les liens avec Moscou ? C'est à ces questions que cet ouvrage entend répondre, en mettant en perspective les événements liés à la révolution russe. La création du PC n'est en effet pas un processus qui s'est réalisé en quelques jours ou en quelques semaines, mais un phénomène bien plus long que l'on observe, avec d'autres modalités, ailleurs en Europe et dans le monde. S'appuyant notamment sur des archives inédites, ce livre est une synthèse de référence qui renouvelle la compréhension de cet événement majeur de notre histoire politique et sociale."--Page 4 of cover.

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