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Analyse critique des modeles theoriques de Gurley et Shaw

Mathematical modeling in experimental nutrition

Univ. of California, Davis. Proceedings of a conference held August 17-20, 1997 at the University of California, Davis. Conference centered on advancing nutrition research through modern statistical/mathematical modeling and state-of-the-art techniques.Nutrients have been recognized as essential for maximum growth, successful reproduction, and infection prevention since the 1940s; since that time, the lion's share of nutrient research has focused on defining their role in these processes. Around 1990, however, a major shift began in the way that researchers viewed some nutrients- particularly the vitamins. This shift was motivated by the discovery that modest declines in vitamin nutritional status are associated with an increased risk of ill-health and disease (such as neural tube defects, heart disease, and cancer), especially in those populations or individuals who are genetically predisposed. In an effort to expand upon this new understanding of nutrient action, nutritionists are increasingly turning their focus to the mathematical modeling of nutrient kinetic data. The availability of suitably-tagged (isotope) nutrients (such as B-carotene, vitamin A, folate, among others), sensitive analytical methods to trace them in humans (mass spectrometry and accelerator mass spectrometry), and powerful software (capable of solving and manipulating differential equations efficiently and accurately), has allowed researchers to construct mathematical models aimed at characterizing the dynamic and kinetic behavior of key nutrients in vivo in humans at an unparalleled level of detail.

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Les professions et leurs sociologies : Modèles théoriques, catégorisations, évolutions

L’exploration du monde des professions constitue un analyseur majeur de la structure sociale, de ses transformations et de son ancrage dans le travail. Elle opère aujourd’hui selon quatre dimensions principales d’investigation et de théorisation, qui composent la trame des recherches nationales et des comparaisons internationales : l’analyse structurale ou interactionniste des relations de l’organisation interne d’une profession, et des relations de complémentarité et de concurrence avec les professions voisines, constituées ou émergentes ; l’approche socio-économique des caractéristiques du travail fonctionnellement divisé, et de leur cotation dans l’entreprise et sur le marché de l’emploi ; l’étude microsociologique des profils individuels d’activité et des identifications à un métier ; l’analyse institutionnaliste et constructiviste de la classification des professions, et à travers celle-ci, de l’architecture sociale. Issu d’un colloque organisé à l’initiative de la Société française de sociologie, le présent volume poursuit plusieurs objectifs. Il dresse tout d’abord un bilan critique des différents courants théoriques qui ont alimenté l’étude des professions ; il évalue la robustesse de l’outil qu’a constitué la nomenclature française des professions et catégories socioprofessionnelles mise en œuvre par l’INSEE en 1982 ; il caractérise les évolutions dans l’identification et la dénomination des professions ; il confronte différentes analyses de cas issues d’enquêtes sur des ensembles professionnels et cerne les défis que doit relever l’analyse sociologique des professions face aux transformations du travail, de son organisation et de ses marchés. En devenant un champ de recherche spécifique, l’étude des professions révèle ainsi un objet bien plus complexe qu’une simple grille d’identification et de classification des tâches requises, objet qui constitue, en retour, l’un des meilleurs repères pour établir les mérites respectifs des divers paradigmes de la…

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