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De la coutume à la loi en Polynésie orientale de 1767 à 1945

1917-1918 dans les établissements français de l'Océanie : à la lecture du Journal officiel des EFO

"Corinne Raybaud signe la fin de sa trilogie sur la 1ère guerre mondiale dans les Etablissements Français de l'Océanie. Pour cela, elle a étudié plus de 1 000 pages du Journal Officiel des EFO des années 1917-1918 afin d'en retirer les faits intéressants sur la vie des habitants de Tahiti et des îles, sous la forme d'une mosaïque d'informations diverses. On note par exemple l'intérêt du gouverneur à encourager le développement agricole des cultures vivrières, l'élaboration de rizières à Temae (Mooera), Punaauia, ainsi que la culture de la vanille, du coprah et l'exploitation de la nacre qui constituent même en temps de guerre, un solde positif des exportations des EFO. L'auteur relate aussi les questions sur l'état-civil, les relevés démographiques, les liaisons inter-îles, mais aussi des aventures maritimes, des naufrages et des sauvetages..."--Page 4 of cover.

1914 dans les établissements français de l'Océanie : à la lecture du Journal officiel des EFO, de la Tribune de Tahiti, l'Annuaire et de quelques récits relatifs au bombardement de Papeete

"L'auteur s'est déjà penchée sur cette période à la faveur d'un autre ouvrage sur l'histoire des Établissements français de l'Océa.nie pendant la première guerre mondiale, en 2010. Cette fois, c'est uniquement l'année 1914 qui retient son attention. Après un long travail de recherche et d'analyse de toutes les pages du Journal Officiel des Établissements Français de l'Océanie (JOEFO), de l'Annuaire de l'année 1914, de La Tribune de Tahiti et de quelques autres ouvrages ; elle réalise ce document qui nous renseigne sur la vie des habitants des EFO, il y a 100 ans. On découvre ainsi les taxes sur les chiens, sur les voitures, sur les robinets... Il y a aussi le bertillonnage de certains étrangers et les préoccupations des autorités quant à l'état sanitaire de la population car les maladies contagieuses demeurent nombreuses... On apprend que la langue française est peu utilisée en 1914 en dehors de Papeete, malgré certains efforts... Des listes complètes de produits importés et exportés nous renseignent sur les besoins et les productions de la colonie en 1914. Enfin, le bombardement de la ville de Papeete le 22 septembre 1914 est évoqué à travers le JOEFO et La Tribune de Tahiti où un article peu connu de Pierre Loti relate les faits à sa manière."--P. [4] of cover.